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Sortie d’Automne en Forez - 1er au 3 novembre 2012

Nous avons accepté l’invitation du Porsche 356 Club de France qui a organisé sa sortie d’automne traditionnelle. Les responsables ont choisi le Forez pour cette édition 2012. Ne connaissant pas la région du Beaujolais, voilà une opportunité pour nous de passer quelques jours dans cette partie de la France.

Une quarantaine de voitures, la majeure partie d’entre-elles des 356 bien évidemment, se sont retrouvées sur le parking du superbe Château de Pizay, situé à une bonne demi-heure au sud de Macon, point de départ de cette rencontre.

Après un « Café gourmand » nous nous sommes élancés dans un parcours de trois heures à travers « les Pierres Dorées » jusqu’à Saint-Galmier à l’hôtel La Charpinière, notre lieu de résidence. Saint-Galmier est le berceau de la source « Badoit ».

La matinée du vendredi était réservée à la visite de la société Focal, leader mondial de la Hi-Fi. Visite extrêmement intéressante et ensuite du Musée d’Art Moderne à Saint-Etienne… ça, par contre, faut aimer ! Déjeuner au Musée.

L’après-midi, la voiture de tête, une 356 Carrera B T5 de 1963 nous mena avec un train d’enfer à travers les Monts du Forez. Surprenant de voir de quelle façon les Français cravachent leurs montures. Personne ne s’était plaint des efforts imposés à nos vieilles carcasses (je parle des autos, évidemment) pendant cette « promenade ». Impensable chez nous ! Parfois, j’ai du mal à soutenir ce rythme infernal à bord de ma lourde 993 quand les petites, souvent puissantes et agiles 356 gravissaient sur ces petites routes sinueuses les cols de cette région.

Dîner le soir à l’hôtel après la visite de la Bâtie d’Urfée.

Puis, samedi 3 novembre, nos voitures nous ont menés pendant une étape de 3 heures (!) à travers les « Côtes Roannaises » pour nous arrêter sur le parking du Restaurant « Troisgros ». Eh oui, l’apothéose de la journée ! Après le déjeuner mémorable en ce lieu, l’un des berceaux de la haute gastronomie française, il était temps de nous quitter, une longue route nous attendait pour le retour.

P. Decker